Tripalium...
D’ou vient le mot travail ?
D’un mot latin - « tripalium » - qui désignait une sorte de tabouret qui empêchait les bêtes de bouger pendant la traite…..
Par
glissement, ce tabouret est devenu aussi un instrument de torture (car
torturer et génocider sont des travaux à temps plein, alors que créer,
beaucoup moins….).
Donc le travail est une torture…..
Voici,
résumés en 3 phrases, façon Digestion du Lecteur, 50 000 ans
d’activités humaines qui ont donné naissance à la roue, à l’imprimerie,
aux cathédrales, aux fusils-mitrailleurs à rayon laser et aux
technologies de pointe qui nous permettent à la fois d’écouter la Star
Ac’ et de téléphoner de n’importe quel endroit de la planète pour dire
à son aimée de ne pas oublier d’acheter le pain….
Le travail, mot qui fait systématiquement éternuer Gaston Lagaffe, possède des constantes invariables….
Il
abîme toujours les mains, il est toujours mal payé, il est toujours
fatigant…..et je laisse le reste à écrire à votre convenance.
Mais mon propos du jour était de vous éclairer sur une autre
constante que nous ne voyons pas forcément et que votre serviteur se
devait de vous faire partager : au travail, en particulier dans la rue,
il y en a toujours un qui bosse et un qui regarde !
Maintenant que vous le savez, regardez bien autour de vous et vous verrez….Ca saute aux yeux!
(Rue Lamarck)
P.S.1 : cette photo me rappelle une parole de Newton qui disait : « les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts…. ».
P.S.2 : il faut que je retourne voir ce mur, une fois fini, car là, a priori, ça m'a l'air assez mal parti.....